Mon Tana collinaire essaimé d’escaliers
Jadis tu fus construit au coeur de la rizière
Erigé vers le ciel tout comme une prière
Tant de siècles de vie te restent reliés
Mon Tana collinaire aux mille et un métiers
Dont vivent des Gasys venus de l’ile entière
Aux visages riants malgré maux et misère
Tout au long des chemins parmi cent bénitiers
Mon Tana collinaire ô combien accueillant
Avec tes grands marchés aux éclats chatoyants
Et tes panoramas qui me coupent le souffle
Mon berceau collinaire où je naquis un jour
Tout à la fin d’un temps bien aveugle et si sourd
Qui cessa d’exister aprés un grand baroufle
Bravo, c’est limite transcendant !
Merci, le tien est magnifique. Sèche tes pleurs, cher Tana, moi non plus je n’ai pas rendu les armes