Ma chère Antananarivo ,
Ma ville natale , il m’est difficile de ne pas tomber sous ton charme.
Chaque jour je me réveille , devant ma fenêtre , je tressaille. La hâte de sortir , dans tes grandes routes sans en finir. Je marche , je sautille , je souris. Ta fleur qui fleurit , sous mes yeux , oh , j’en pétris.
En passant par tes ruelles et tes vieux immeubles , on ne peut que remarquer ta diversité culturelle et tes saveurs inédits. Tes monuments historiques qui te differencient , un large éventail d’activités qui nous nourrit. Des décors somptueux , au cœur de cette ville , hmmm… harmonieux.
La lumière de la nuit qui nous réunit , oh ma Tanà , je chavire en pensant à toi. Le tapage matinal de tes citadins, chaque matin , nous parvient même si nous sommes loin. Oh ma belle , tes marchés locaux qui nous gâtent , tes restaurants et tes lacs , qui davantage nous rattrappent.
Dans une si grande ville , on peut même y voir le crépuscule. Et tes aurores , luisantes et rosées , me donne toujours envie de te contempler. Tes montagnes et tes rizières ; un paysage abondant qui me rende folle éperdument.
Oh ma Tanà , il m’est difficile de m’éloigner de toi , où que je sois , je pense à toi. Je te reviens.
Ta chère petite citadine.
Whooo super original
Une très belle déclaration, originale qui plus est. Simple, courte mais époustouflante. Votre œuvre fait vraiment partie du top 3 parmi les 42. Bon courage pour la suite.
Félicitation Vaniah j’aime ta façon de décrire notre cher tana